Les verrues plantaires sont le signe d’une pathologie et il faut impérativement consulter un médecin pour les soigner.
En effet, les verrues sont dues à la présence d’un virus qui peut parfois rester discret très longtemps avant de refaire surface. Les adultes et surtout les enfants attrapent les verrues dans les lieux humides et chauds (piscines, saunas ou hammam…).
Si votre médecin ou dermatologue le permet, vous pouvez parler avec lui des formules traditionnelles que propose l’aromathérapie pour atténuer les excroissances plantaires dues aux verrues…
– Les ouvrages d’aromathérapie conseillent l’application avec un coton tige d’une goutte d’huile essentielle de cannelle et une goutte d’huile essentielle de clou de girofle 3 fois par jour. Assez contraignant, il faut le faire jusqu’à disparition. Attention, ces huiles essentielles sont très dermo-caustiques ! Evitons le contact avec les yeux ou la peau saine et recouvrons d’un petit pansement.
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– Dans les campagnes d’antan, on avait aussi recours à la sève jaune contenue dans la grande plante des champs appelée Chélidoine ou « herbe à verrue ». Les tiges de cette plante à fleurs jaunes dont renferment un suc acide qui est sensé agir sur la verrue. Deux applications du liquide jaune sont nécessaires, et ce tous les jours pendant 15 jours. C’est donc un peu compliqué aujourd’hui.
D’une façon générale, il faut se souvenir que la verrue est contagieuse et donc éviter de triturer, et ne plus partager les serviettes de bain la verrue est là.
Si votre médecin est homéopathe, demandez-lui également conseil car des granules homéopathiques à prendre par voie orale existent. On parle le plus souvent de Thuya occidentalis 5 CH ou du mélange Verrulia (demandez conseil à votre médecin homéopathe).
Chez le dermatologue, l’azote liquide peut brûler les verrues des mains, mais c’est là une technique apparemment moins efficace pour les pieds. A voir avec votre médecin.